Vincent Dietschy

Vincent a réalisé plusieurs courts et longs métrage de cinéma – notamment La vie Parisienne (2012), Didine (2008), Julie est amoureuse (1998) -, exploités dans les salles et à la télévision. Ses films ont reçu des prix prestigieux – Prix Jean Vigo, nomination aux César, etc – et ont été sélectionnés dans de nombreux festivals en France et à l’étranger.

Vincent est également scénariste, chef opérateur, chef monteur. Il a joué comme acteur dans les films de Luc Moullet, Justine Triet, Sébastien Bailly… Il a produit les premiers films de Laurent Cantet, Dominik Moll, Gilles Marchand, Thomas Bardinet. Il a co-écrit le prochain long-métrage d’Arnaud Viard d’après Anna Gavalda, Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part, qui sort en décembre 2019.

Parallèlement à son travail de cinéaste, Vincent intervient pour transmettre son expérience à l’Écal (école cantonale d’art de Lausanne), à la Fémis et dans le dispositif Lycéens et apprentis au cinéma en Île-de-France.

Jules Carrin

Jules Carrin est né en 1988 à Cahors en France. Après avoir terminé ses études secondaires avec une spécialisation en littérature et en beaux-arts, il a passé plusieurs années à acquérir diverses expériences sur des plateaux de tournage à travers Paris – assistant réalisateur, assistant de production et régisseur.

En 2017, il a obtenu un diplôme en réalisation d’un programme de réalisation de trois ans à la HEAD School à Genève.

Son film de diplôme, First Love, remporte le prix de la cinématographie à Winterthur Kurtzfilmtage et participe à divers festivals tels que Berlinale, VIS, Filmfest Hamburg, Festival du film de San Sebastian.

Alice de Lencquesaing

Alice de Lencquesaing est née en 1991.
Elle a grandi avec des textes de théâtre et des films français.
Parallèlement à des études de Lettre Modernes à la Sorbonne (licence puis master), elle tourne dans plusieurs films depuis plus de dix ans. On la découvre chez Mia Hansen Love (Le Père de mes enfants) et Maiwenn (Polisse), puis on a retrouve dans La Religieuse de Guillaume Nicloux ou encore Tokyo Fiancée de Stéphane Liberski. Dernièrement, on l’a vu dans Chocolat de Roschdy Zem, Braqueurs de Julien Leclercq, puis dans Frantz de François Ozon et dans Réparer les vivants de Katell Quillévéré. Plus récemment, elle était à l’affiche du film de Carine Tardieu Ôtez-moi d’un doute.
Alice a joué deux spectacles dans des théâtres parisiens, et elle a tourné dans de nombreux courts-métrages. Depuis mars 2017 elle joue dans la dernière création d’Alexis Michalik Intra Muros.
À partir de 2010, elle se met un peu plus sérieusement à l’écriture et à la réalisation, des petits objets vidéos autoproduits au départ, une animation auprès d’étudiants en théâtre au lycée Lamartine (Paris 9 ème ) puis un spectacle au Ciné 13 théâtre, coécrit et mis en scène avec Inès Loizillon ; elles adapteront ce texte en court-métrage, le film s’est tourné en juin 2017.
Alice développe actuellement un projet de court-métrage chez Les films de l’autre cougar.

Dania Reymond

Dania Reymond est une  cinéaste franco-algérienne, née à Alger en 1982. Elle a étudié le cinéma à l’école des beaux-arts de Marseille et de Lyon. Elle a également suivi le cursus du Fresnoy studio national des arts contemporains où elle reçoit le prix Studio Collector. En 2015 son travail est récompensé du Prix Coup de coeur Art Collector au salon Jeune création où elle est parrainée par Mounir Fatmi. Ses films ont été montrés dans plusieurs festivals de cinéma dont le FID Marseille, le festival Premiers Plans d’Angers, les rencontres du moyen-métrage de Brive, Côté court ou New Directors New Films…. Il a également été diffusé dans des lieux dédiés à l’art contemporain et lors d’événements comme la Biennale de Lyon et la FIAC. Son travail a intégré les collections du Fond National d’Art Contemporain.

2016 Le jardin d’essai, 42’ Production : Blue Monday production avec la contribution financière du CNC et l’Arab found for art and culture

2016 La tempête, 10’ – Production : Le CNAP et le GREC dans le cadre de la collection La première image

2013 La ville de Maria, 16’ Production : Le Fresnoy

2013 Paysage emprunté # 2, 20’ Production : GREC (groupe de recherche et d’essai cinématographique)

2012 Greenland unrealised, 9’ Production : GRAME centre national de création musicale et Digital Art center Taipei en partenariat avec l’institut français et l’Ensba Lyon

2012 Jeanne, 17’ Production : Le Fresnoy

2011 Vue imaginaire de la Grande Galerie du Louvre en ruines, 6’ Production : ENSBA Lyon

2011 Paysage emprunté # 1, 23’

2010 oscilloscope 1 – Physique de l’Evangile, 8’

2010 oscilloscope 2 – La Parole, 9’

2009 Projection, 9’

Jules Zingg

Après des études d’arts graphiques, Jules Zingg se destine au métier d’affichiste, mais sa passion du cinéma le pousse vers les plateaux où il débute en tant qu’assistant réalisateur. Depuis il travaille comme réalisateur, vidéaste, et enseigne le cinéma à l’Université de Poitiers. Jules a déjà réalisé plusieurs courts-métrages sélectionnés dans des festivals internationaux (Rotterdam, Uppsala, Stuttgart, Hambourg, Indilisboa, etc.) et travaille actuellement au développement de son premier long-métrage.

Romain Grésillon

Romain Grésillon faisait des films dans sa tête bien avant d’avoir une caméra. A 16 ans il réalise son premier film d’animation réalisé en stop-motion intitulé Un Gentleman au Farwest, qui connaîtra une modeste renommée. Il poursuit des études d’arts plastiques, puis de théâtre et de cinéma à l’université Paris 8. C’est en 2012, dans le cadre de son master de réalisation qu’il réalise Moucheron, court-métrage fantastique présenté dans plusieurs festivals en Europe.

En 2016 il réalise Guide’s Life, web série comique inspirée de sa propre expérience de guide touristique à Paris.

Il est aussi monteur et responsable de l’animation sur le documentaire Et si Babel n’était qu’un mythe ? (2019).

Jordi Perino

Jordi Perino est réalisateur et scénariste. Après cinq ans d’errance étudiante entre économie, sciences politiques et sociologie, il entre à l’Ecole Supérieure d’Audiovisuel (ESAV) de Toulouse en 2008. Il réalise plusieurs films (J- ?, Gardiens, Castagne) autoproduits avec l’aide du collectif de jeune réalisateurs Ciné 2000 dont il est l’un des fondateurs. Entre 2012 et 2015 il travaille comme assistant réalisateur, avant de se recentrer sur ses propres projets. En 2016, il écrit et réalise le court-métrage Marie Salope puis se consacre à l’écriture de ses prochains courts métrages, d’un long métrage et d’une série. Il est également consultant en scénario.

Sébastien de Monbrison

De père français et de mère égyptienne, Sébastien a une formation d’anthropologue et a réalisé des travaux audiovisuels autour des rites de possession. En 2005, il coréalise un documentaire sur l’après guerre en Bosnie-Herzégovine, puis se tourne vers le théâtre en tant que metteur en scène et parfois comédien. En 2014, il réalise, avec Pierre Alfred Eberhard, le court-métrage Je fais du squash aussi primé dans plusieurs festivals. Sébastien travaille actuellement à la réalisation d’un documentaire sur le Vodou en milieu urbain africain. Depuis 2017, il est producteur associé au Bureau des curiosités.

Rosalie Kauffmann

Dans son film de fin d’études de l’ESAV intitulé Œuf, Rosalie Kauffmann interprétait tous les personnages. En 2014, elle réalisait son deuxième court-métrage, Le sentiment familial, où elle se frottait à la direction d’acteurs. Depuis elle se consacre à des performances live mêlant le son et l’image, comme Le grand ectoplasme, présenté au DAF de Genève en avril 2015, développe un projet de documentaire et une fiction sonore collaborative.

Elle fait partie depuis six ans des forces vives de l’association Synaps collectif audiovisuel et anime des ateliers vidéo en prison, et auprès d’adolescents de banlieue parisienne.