Cyprien Ponson

Cyprien quitte son Ardèche natale à 18 ans pour faire des études d’anthropologie et de cinéma à Lyon 2. Il obtient ensuite le master Créadoc de réalisation documentaire à Angoulême.

En 2017 il coréalise avec Caroline Parietti, BÉ’ JAM BÉ et cela n’aura pas de fin.

Le film, d’abord montré au festival Visions du réel où il a reçu le prix Buyens-Chagoll de « œuvre à dimension humaniste qui met en lumière des récits développant des valeurs qui donnent sens à l’avenir des humains »  a ensuite voyagé de festival en festival à travers le monde. En lien avec ce premier film et toujours avec Caroline Parietti, il a écrit plusieurs articles et un livre en cours d’édition.

Cinéaste, jardinier, monteur, programmateur, éleveur de poules, lecteur de commission… De retour sur ses terres Ardéchoises, Cyprien cultive son second long-métrage qui, dans la lignée du précédent, regardera avec inquiétude les ravages commis contre les terres et les êtres.

28 Mois

Documentaire, en développement.


Ecrit et réalisé par Cyprien Ponson

Synopsis

En 1956, âgé de 20 ans, mon grand-père Guy fut envoyé, comme tous ceux de sa génération, faire son service militaire en Algérie. Jeune appelé, il participa, malgré lui, activement à la guerre.
Plus de soixante ans après, cette période le hante encore. À l’aube de sa mort, je le questionne sur ce passé dont la génération intermédiaire n’a rien voulu savoir. En m’emparant des archives de mon grand-père, je tente de dialoguer avec l’Histoire pour franchir le fossé qui me sépare de lui.

Lover please

Documentaire, en développement.


Ecrit et réalisé par Annabelle Bouzom

Avec le soutien de la région Occitanie (développement).

Synopsis

Ma mère Françoise est amoureuse. Deux fois par an, elle rejoint à Mende son amant, de trente ans son cadet. Les retrouvailles approchent et je regarde Françoise rêver, préparer ses affaires, se parer de ses plus beaux atours pour celui qu’elle aime. J’interroge notre rapport respectif aux hommes et à l’amour… Quel est ce modèle que me propose ma mère, entre assujetissement et farouche liberté ?

Matthias Berger

Matthias Berger a grandi dans une communauté agricole dans le nord de la Sarthe. Il suit des études d’ethnologie avant de s’orienter vers le cinéma documentaire. Il réalise un premier film, CHINK, en 2010 puis intègre l’ENSAV de 2010 à 2012. Depuis, en parallèle d’une activité de chef opérateur son, il s’investit au sein du collectif Les Zooms Verts et développe une activité autour de l’écriture et de la production pour un cinéma documentaire de recherche : Les enfants de la Prairie (2015) puis le projet de collection documentaire Divagations Urbaines (depuis 2016).

Aurélien Caillaux

L’île est le premier film dont Aurélien Caillaux est co-réalisateur. Documentariste sonore, il fait partie du collectif Les Voix de Traverse, au sein duquel il a réalisé plusieurs projets documentaires in situ, à Toulouse et ailleurs. En 2019, il a réalisé le documentaire radiophonique From Lisboa With Love, diffusé sur la RTS.  Il collabore régulièrement avec Benoit Bories, avec qui il a notamment réalisé en 2020 Lettre à Irma, 2e prix au festival Europa dans la catégorie « binaural ».

Frédéric Bernard

Né à Cannes en 1981, il suit un Master de cinéma option réalisation à l’IUP SATIS. Après des années d’assistanat, il décide de se recentrer sur ses projets et de passer à la réalisation. Il réalise ainsi trois court-métrages produits : Brûlent les villes, brûle le ciel (2020), Un point dans la foule (2017), Demain (2012). En parallèle, il suit des formations avec le G.R.E.C ou avec les Ateliers Varan et obtient des bourses comme celles de la fondation Beaumarchais. Il continue sa quête cinématographique où la politique s’entrechoque avec la poésie.  

Nicolas Réglat

​Après un bac d’Arts Appliqués et trois ans d’études aux Beaux-Arts, Nicolas Réglat suit des études de cinéma à l’École supérieure d’audiovisuel de Toulouse, l’ENSAV.
¡ G.A.R.I ! (2013) est son premier long métrage documentaire : l’aventure de groupes anti-franquistes qui s’unissent en France en 1974 pour sauver des camarades emprisonnés en Espagne sous la dictature de Franco. Depuis 2016, avec Fabien Daguerre, il travaille sur un projet de série documentaire au long court : Les étrangers retrace le parcours de squatteur-e-s qui investissent des bâtiments abandonnés pour les mettre à la disposition d’immigré-e-s venu-e-s d’un peu partout autour de la Méditerranée. Gérard et les indiens (2017) est un 52 min coproduit par France 3 Toulouse : Nico craint le succès de la fille « N’a-qu’un-œil » aux présidentielles 2017. Gérard, 18 ans en 1968 puis activiste proche du SCALP (Section Carrément Anti Le Pen), lui apprend que la survie de leur peuple est conditionnée par la transmission d’une culture et par plusieurs Kg de dynamite. En 2018/2019 il suit une formation aux Ateliers Varan pour le projet de film Le Dandy manchot.

Inas Chanti

Inas Chanti est actrice et auteure. Elle a co-écrit le court-métrage Haramiste (2015), la web-série Yas & Rim (2018) et le long-métrage A genoux les gars (2018) – Sélection Officielle Un Certain Regard au Festival de Cannes – réalisés par Antoine Desrosières et produits par Les films de l’autre cougar. 

Elle est actrice dans ces trois films, et a été pré-sélectionnée aux César 2019 dans la catégorie Révélations meilleur espoir féminin pour son rôle dans A genoux les gars. En 2020, elle sera à l’affiche des longs-métrages Vaurien de Peter Dourountzis et Playlist de Nine Antico.

Adrien Fonda

Ayant grandi dans un petit village en pleine garrigue, Adrien quitte les cigales pour étudier le cinéma et le scénario dans les universités parisiennes. Il profite de l’été et de ses nouveaux amis pour tourner des courts-métrages près des rivières et des charmilles méridionales.

Son petit dernier, Naissença, est un film sur l’amour et les cailloux, tourné sans scénario sur les lieux de son enfance avec les gens qu’il aime. Mais comme l’été s’altère souvent en automne, Adrien remonte à Paris pour travailler. Le jour, il est assistant monteur sur des long-métrages. La nuit, il compose de la musique pour des films. Entre les deux, il écrit.

En attendant avec impatience, l’arrivée de l’été.